mercredi 12 août 2009

Michael Coney

Romancier de science fiction, né en 1932 au Canada.

Connu pour de nombreux ouvrages aux frontières du fantastique et de la SF spéculative, il possède une manière bien personnelle de mener ses intrigues, poétiques et oniriques mais toujours liées à des réalités scientifiques ou sociologiques.

Sa plus fameuse suite romanesque s'intitule "Les Dieux du Grand Loin" et raconte une saga inter-galactique qui met en scène les Dieux créateurs de l'Univers dans une entrelacs spacio-temporel de tous les futurs possibles...

Première partie (1982) :


Voici l'ouverture d'une immense épopée, Le Chant de la Terre, dont le premier acte a été raconté dans La Locomotive à vapeur céleste et le second dans Les Dieux du grand loin. Elle contera non seulement l'histoire de toutes les humanités mais encore celle de tous les possibles et plus encore celle de Starquin, le Cinq-en-un, un être de dimensions vraiment interstellaires. Karina, une félina, issue d'un croisement de Vrai Humain et de chat, a la beauté d'une femme et la souplesse d'un fauve, sa cruauté et sa violence. La vie lui fera rencontrer Raoul, le fils du capitaine indomptable, et la tendresse. Tandis que se déroule sur un rail unique, à travers forêts, jungles et marais, la terrible, la fantastique grande course de chars à voiles.
Voici l'histoire d'un monde où la technologie sauvage qui a menacé de détruire la Terre a été oubliée et où la sculpture des êtres vivants a pris sa place. A moins que renaisse le culte du métal...

Second Chapitre (1983) :


Voici le premier volume d'une oeuvre épique immense, Le Chant de la Terre, qui décrit comment, dans un avenir très éloigné, un être vraiment cosmique, Starquin, fut involontairement piégé par les hommes et comment il parvint à se libérer, dans certains possibles, en changeant le cours de l'histoire. La Fille, Zozula le Cuidador et Manuel l'Humain sauvage devaient jouer un rôle décisif dans cette libération en explorant à bord de la Locomotive le Pays des Rêves Perdus.

Troisième volet (1984) :


Un chant si vaste qu'il faudrait plus d'un siècle pour le réciter en entier et qui couvre non seulement toute l'histoire de l'humanité jusque dans son avenir le plus lointain, mais aussi tous ses possibles. Zozula le Cuidador, Manuel l'humain sauvage et la Fille qui n'avait pas de nom affrontent les Loups du Malheur et contribuent pour leur part, petite, mais essentielle, à la libération de Starquin, le presque dieu.

Non, je ne me suis pas trompé : le premier acte de la trilogie a bien été publié après le second !
Cela ajoute à l'originalité de l'auteur et au caractère unique de cette histoire que l'on n'oublie pas...

Aucun commentaire: